Le financement participatif ou crowdfunding est un moyen permettant de récolter des fonds pour financer un projet ou une cause particulière. Avec ce type de financement, toute une communauté peut participer à la mise en marche ou au lancement d’un projet en faisant des dons. Il est nécessaire de noter que ce concept est différent du crowlending ou crowdequity qui consiste à donner des prêts ou faire des achats d’actions. Il s’agit plutôt d’une solution qui permet aux porteurs de projet de demander un financement sans contrepartie. Habituellement, l’opération se fait en ligne, via un site particulier. Mais comment choisir justement la plateforme d’aide à Madagascar pour faire l’opération ?
Les intérêts d’une création de campagne sur une plateforme d’aide Madagascar
Selon le baromètre de l’association des professionnels du financement participatif en France, en 2018, le plus de 80 millions d’euros ont été collectés grâce au crowdfunding. À Madagascar en particulier, ce type de moyen pour collecter des fonds n’est pas encore très connu. Cependant, de plus en plus de personnes commencent à s’y intéresser. C’est d’ailleurs pour cela que le nombre de plateformes d’aide Madagascar ne cesse de s’accroitre. Elles permettent de créer des campagnes de toutes les sortes, et cela, avec une grande facilité. De plus, ces sites particuliers donnent la possibilité aux internautes de demander des financements pour n’importe quel projet. Cela peut donc être d’ordre humanitaire, pour l’intérêt général ou associatif. Il peut aussi concerner seulement des besoins personnels ou un soutien pour une cause singulière, etc.
Dans tous les cas, lors de la création d’un compte sur la plateforme d’aide Madagascar, il est toujours nécessaire de bien choisir les informations à mettre en avant. Il faut aussi bien soigner l’image sur le profil. Tout cela permet d’attirer les donateurs.
Faire le bon choix de la plateforme d’aide Madagascar, oui, mais comment ?
Pour éviter tous risques de se tromper en matière de choix de plateforme d’aide Madagascar, il est important de se poser les bonnes questions. Elles aident à déterminer les critères à mettre en exergue.
D’abord, il faut se demander comment est vue la plateforme ? Il s’agit de bien s’informer sur sa notoriété, sa visibilité, etc. Rien ne sert, en effet, d’utiliser une plateforme qui n’est pas connue du public. À Madagascar, il y a plusieurs sites sur lesquels il est possible d’inscrire le projet. Parmi les meilleurs, il y a koti-kota.com.
Ensuite, il faut savoir quelles sont les conditions de reversement du montant collecté ? Entre-temps, il est nécessaire de déterminer si la plateforme pratique ou non la logique du « tout-ou-rien » ? Il se peut effectivement que le site ne reverse le fonds au propriétaire du compte que lorsque l’objectif minimum soit atteint. Il y a d’autres sites qui font le versement bien que la somme voulue au départ ne soit pas encore réunie à la date déterminée comme fin de la campagne.
Puis, il est utile de connaitre au préalable s’il y a des frais au reversement du fonds collecté. Cette sorte de commission peut être exorbitante. Le porteur de projet doit donc faire très attention et bien lire les clauses de l’utilisation du site avant de se lancer.
Et pour finir, s’informer sur les possibilités de demande de contrepartie pour les donateurs est nécessaire. Cela peut prendre plusieurs formes : matérielle, symbolique, etc. C’est la plateforme d’aide Madagascar qui les détermine. Il se peut aussi qu’elle propose tout simplement un simple support permettant de faire une demande de financement et de réaliser une collecte de fonds sans aucune contrepartie.